Fractale
Quand la mer se retire comme un grand chien gris
Sous les étoiles incrédules d’orange
Et que les lourds édredons de la nuit
Apaisent les remous de l’eau
Je tends ma main avec toutes ses lignes
Aux poissons émus de mon épaule
C’est un poids doux et considérable
Ton sourire de pierres polies qui me frôle
Inaltérable à la fractale d’un monde réuni
Que je venge
Barbara Auzou.
A lire sur Lire dit-elle.
Merci Claire…Je t’embrasse.
L’occasion était si belle, et le poème aussi !
Bises.