C’est l’impression que cela me fait : après avoir vécu quelques jours avec un nuage dense de copies au-dessus de la tête, pas le choix : il faut les corriger. Du coup, grosse averse de copies, lourdes comme de grosses gouttes.
Heureusement, corriger des copies, c’est comme une averse d’orage : on sait qu’après ça va aller drôlement mieux, et en soi c’est joli aussi.
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