Le sujet alpha

En début de vacances, j’avais décidé de m’attaquer à ma pile de bouquins. J’en ai lu quatre en trois jours, j’étais bien contente. Et puis j’ai attaqué Le sujet alpha, d’Arnaud Durand et Julien Durand. j’avais hâte…

Je me suis lancée dans l’ouvrage avec grand plaisir : j’ai aimé la façon dont l’histoire est menée. Et puis j’ai bloqué.

Mais alors, bloqué de chez bloqué. Un foutu cadenas indécadenassable.

Je me suis dit bon, je vais laisser reposer. Il y a forcément une logique, ça va venir.

Et puis la semaine est passée et j’ai fait des taaaaaas d’autres trucs. Mais ce matin, en m’installant dans la bibliothèque, j’avais vraiment très envie de reprendre le livre. Et au deuxième essai, il s’est ouvert, ce cadenas. Clic, comme ça. J’ai continué de progresser, et j’ai adoré les énigmes. C’est hyper bien fichu.

Bon, mais là je suis à nouveau coincée. Mmmmh. Je sens que ce n’est pas rédhibitoire. Il faut que je prenne les indices par le bon bout, et surtout que je les rassemble dans une progression logique. Mais ça ça me dit ça, et puis ça ça appelle ça, à mon avis. Mmmmmmmh. Il y a des aides, si on n’arrive pas à dépasser ses blocages : une copine m’a dit qu’elles étaient très bien faites. On peut même accéder aux solutions des énigmes si vraiment on n’y arrive pas. Mais je ne veux ni faire appel aux solutions, ni aux indices. Je veux jouer. C’est sérieux, de jouer.

D’ailleurs j’ai adoré progresser de façon fluide, mais je suis bien contente que ça résiste, aussi.

En attendant, je dois me décoller pour m’occuper du reste. Groumpf. J’y reviens dès que j’ai un moment.

Non mais.

PS : je n’ai pas fini, mais je vous conseille vivement le livre-escape game. L’ambiance est top. C’est même fort de rendre une pareille ambiance si rapidement.

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