Extrait d’un article du Monde d’aujourd’hui :
S’il défend ce calendrier, Pierre Mathiot, coprésident du comité de suivi de la réforme du lycée – qu’il a contribué à façonner –, estime lui-même qu’il a « manqué une réflexion de fond » sur le sens des épreuves de spécialité et leur inscription dans la progression annuelle des lycéens. « L’idée de la réforme du bac, ce n’est pas de faire se dérouler en mars les épreuves qui avaient lieu auparavant en juin », fait-il valoir dans la revue La Grande Conversation.
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