Voici un autre sujet de DNB : celui d’Asie. Voyons voyons.
Exercice 1 : carottes et toboggan


On trouve là-dedans du théorème de Pythagore, du théorème de Thalès, une histoire de gazon par rapport à une aire. Il n’y a pas de trigo, mais on note quand même une grande cohérence dans les différents sujets, je trouve.
Exercice 2 : le QCM traditionnel


Au programme : proba, pourcentages, homothéties, fonctions affines, notation scientifique et un petit coup de trigo. Le QCM est la variable d’ajustement pour se faufiler dans les coins non explorés par les autres exercices.
Exercice 3 : autour d’un programme de calcul




On note toujours cette homogénéité des exercices au travers des trois sujets de cette année, surtout sur les deux derniers. On part d’un programme de calcul très guidé (il s’agit surtout de vérifier des résultats donnés), puis on lit des antécédents sur une représentation graphique, on a recours au tableur et on s’interroge sur la réponse qu’il fournit, ce qui permet d’évaluer représenter et modéliser séparément.
Exercice 4 : un peu de programmation, je répète, un peu de programmation


Les questions 1, 2 et 3 sont très très simples. A mon avis des candidats pourraient chercher le piège là où il n’y en a pas. La question 4a n’est pas tellement plus compliquée, d’ailleurs. La question 4b l’est un peu plus car il faut écrire, mais avec la 4a les candidats ont un bon point d’appui. Ils peuvent jouer avec des répéter, ou pas.
Exercice 5 : un exercice de saison


On commence par une moyenne non pondérée. La question 2 réactive une question de pourcentage, mais assortie d’un calcul de prix de vente, ce qui es fait une tâche un petit peu complexe. On termine avec des mesures : un calcul de volume avec formule donnée, puis une conversion de cm3 aux dm3 pour faire le lien avec les L, et une conclusion qui s’apparente un peu au problème du gazon du début.
Conclusion : une vraie tendance d’un sujet à l’autre
C’est frappant ce que ces sujets sont similaires, et cela confirme qu’on revient à des sujets façon pré-2015. Il me semble qu’un soin particulier est porté sur les formulations, plus accessibles que dans certains sujets plus récents. Il n’y a pas “beaucoup de mots”, ni de contextes inhabituels pour les candidats. C’est bien pour garantir plus d’équité entre les différents territoires.