J’ai bien bossé, ce weekend, et voilà, j’ai fini. Je vais continuer à cogiter, mais j’ai préparé tous mes contenus, mes déroulés, et tout passé en revue à mon mari, qui a eu les idées qui me manquaient pile aux moments adéquats (c’est parce qu’il est très fort). Je vais gagner en décontraction : je voudrais être efficace pour les collègues, qui se déplacent et me font venir de loin, et aussi répondre à la commande, assez précise, qui m’a été faite. Là, j’ai le temps de réfléchir encore, de réguler, de réévaluer, de m’entraîner sur les diapos, de faire faire les activités à mes enfants… C’est bien. 🙂


J’ai aussi fait la liste de ce que je dois emmener : les instruments de géométrie de tableau, de la craie, des cordes, du fil de fer, les albums, des feuilles en tout genre, des affichages, de la pâte à modeler, des petits bâtons, des jeux, des billes, des petits sacs, des solides, des trucs plus ou moins lourds, des draps, des ardoises, des feutres… Tout pour faire de la géométrie !
Ce qui est super, c’est que j’ai dores et déjà poussé ma réflexion. Je me suis appuyée sur deux expériences avec une élève malvoyante et une aveugle, mais j’ai aussi réfléchi encore différemment. J’ai lu pas mal de didactique spécifique aux personnes aveugles et aux malvoyantes, aussi. Et une fois en formation, les collègues vont à coup sûr me former aussi !