Deux semaines et deux jours

Il faut se rendre à l’évidence : nous nous engageons dans la dernière partie des vacances. Cela nous rapproche indubitablement de la rentrée. Il reste encore deux semaines, soit un tiers de ces vacances d’été. Ce n’est pas insignifiant. Mais pour moi ce sont deux fausses semaines de vacances, car je vais animer un atelier en Belgique et ensuite aller faire les emplois du temps de mes élèves au retour.

Un point négatif, c’est qu’il va falloir se lever à heure fixe le matin, sur l’injonction du réveil, et sans traîner avec bonheur sous la couette. C’est un peu idiot, parce qu’en fait je me réveille naturellement plus tôt que le réveil, là, en ce moment. Mais c’est pour le principe.

Un autre point négatif, c’est que je ne vais pas pouvoir traîner en commençant par lire mon Spirou dans le hamac sitôt le petit déjeuner terminé. Ni aller faire du sport ensuite. A la place j’irai en classe.

Bon, maintenant les points positifs. Ceux qui font que si j’y pense je sautille :

  • Je change de collège : nouvelles aventures
  • Je change de boulot : nouvelles grandes aventures
  • Je vais pouvoir essayer tout ce que j’ai imaginé et accumulé pendant l’été
  • Je vais enseigner des maths, mais pas seulement
  • J’ai des tas de projet d’écriture et de formation en maths, histoire de rester dans mes amours intellectuelles
  • Je vais être formée, apprendre des tas de trucs, échanger avec des personnes qui ont les mêmes appétences que moi

Rhalala… Ca c’est de la rentrée qui donne la pêche, j’vous l’dis ! Cela me fait plaisir d’être sautillante pour reprendre, car si j’ai toujours gambadé une fois la rentrée effectuée, ces deux dernières années ont été plus molles juste avant de retourner au taf.

Faut juste que je n’y pense pas trop, sans quoi je vais soûler tout le monde autour de moi…

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