Il me reste trois tâches à réaliser, côté boulot & co, d’ici à la fin des vacances. Ce ne sont pas les plus simples car ce sont des créations, des constructions à partir de rien. Alors depuis un moment je sens que ça tournicote dans ma tête, mais ce matin il était encore trop tôt pour m’y atteler. Ce n’était pas mûr. Plus jeune, je forçais, je calais et j’étais frustrée, parfois même angoissée. Aujourd’hui, je sais que ça se débloquera en temps et en heure. Je suis tout près d’avoir mes idées, il faut juste qu’elles remontent à la surface, un peu plus haut.
Mon réflexe, comme toujours dans ces cas-là, c’est de vider mon sac pour faire du tri, de m’occuper des mails en souffrance (je suis passée de 62 à 16 en deux jours, c’est plutôt pas mal même si c’est perfectible), le nombre de pages internet à lire (de 21 à 7, bien !), le bureau de mon ordi et mon bureau.

Bon, dans mon sac, deux équerres, six rapporteurs, 7 feutres à tableau, cinq règles et 11 stylos, c’était trop. J’ai élagué.
Elaguer… Tiens, ça me donne une idée pour un de mes projets…
Mais là, c’est l’heure d’aller voir Marguerite au ciné, alors zou !