Alors là, c’est une expérience concluante. nous avons fait du calcul, des grandeurs et mesures et de la résolution de problèmes, parfum chocolat.
Bon, à table.
Alors là, c’est une expérience concluante. nous avons fait du calcul, des grandeurs et mesures et de la résolution de problèmes, parfum chocolat.
Bon, à table.
Nos élèves ont de l’imagination… Il y a de la sensibilité dans les maths, et de l’affectif !
Certains élèves ont joué avec les consignes volontairement ou fait d’autres choix pour certains de leurs arbres.
Voici de très très belles réalisations. Elles ne sont pas toutes correctes du point de vue mathématique ou du point de vue de la consigne, et c’est très utile : nous pourrons en parler en classe pour revenir sur les conceptions des élèves, et admirer ces merveilles.
Les arbres de divisibilité viennent de là. Je les ai découvert grâce à une collègue qui les a présentés. Le principe est de représenter un arbre, avec sur le tronc un nombre. Prenons l’exemple de 420. 420, c’est 2x2x3x5x7. Il faut donc représenter 5 branches, qui chacune porteront un de ces facteurs. Mais on peut procéder par divisions de branches : un étage avec une petite branche 2 et une grosse branche 210, et la branche 210 se sépare en une petite branche 2 et une grosse branche 105, etc.
Les divisibility trees me permettent de revenir sur les critères de divisibilité, que nous avons déjà travaillés en première période. Ils sont adjoints à une autre réactivation, avec le divisibility rules poetry qui donne lieu à une vidéo. Tout ceci fait du lien entre la numération des entiers, la multiplication et la division, les fractions.
Voici quelques arbres. Dans la journée, je vous en montrerai d’autres, par catégorie, plus ou moins.
Ma fille m’a envoyé cette vidéo, vraiment extraordinaire et en même temps très claire :
Il s’agit de fabriquer un “water computer”, et c’est vraiment rigolo.
J’ai de plus en plus envie de monter un atelier logique-algo-programmation.
Suite du feuilleton :
Encore un peu de douceur pour le week-end.
Vendredi matin, 2ème séance Albert : caractérisation du rectangle et machine à coins qui piquent.
Bon, la construction a été un peu épique… Mais on a réussi et ensuite l’utilisation s’est bien passée.
Voici quelques dessins obtenus…
On voit bien l’évolution par rapport à avant la machine à coins qui piquent… Et quand la semaine prochaine l’Eker va pointer le bout de son sommet, transparente et rigide, contrairement à la machine à coins qui piquent, alors là, ça va dépoter !!!
Avant, Albert était moins perpendiculaire, regardez donc :
C’est ainsi que les ont nommées certains de mes élèves, ces magnifiques constructions en ligne sur le site de l’extraordinaire Sonia Marichal. Sonia, Xavier Veron, Caroline Hassan et Magali Fuentes ont réalisé un travail vraiment épatant. Résultat : mes élèves sont gravement accro, au point que je manque de murs. Et voilà que je tombe sur de nouveaux modèles, et les mêmes sur papier blanc… Voilà le moyen de monter le niveau, super !!!
J’amène ça lundi à mes symétristes endiablés, et je pense qu’ils vont s’arracher les nouvelles bestioles…
Parce que le 2 avril, à Caen, pour la journée régionale normande de l’APMEP, il y aura de l’histoire, des jeux, des BD, un rallye… et un échange avec deux invités exceptionnels : une table ronde avec Michèle Artigue et Gilles Dowek.
Alors oyez, oyez, la journée normande est ouverte à toutes et tous, gratuite et sans obligation d’adhésion à l’APMEP.
Mais pourquoi se priver ??? Je vous le demande ! Notre bien cette date : le 2 avril, à Caen !
Merci à Michèle et Gilles d’avoir accepté notre invitation, et merci à Alice, qui porte si bien son prénom !
Bon alors après, il semble que je soit en charge d’animer cette table ronde, et ça met un chouillat la pression, mais en même temps c’est super chouette !
Ce matin, j’ai finalisé une consigne de problème. Ca m’a emmenée loin, cette histoire, et je suis vraiment contente de la réflexion qui a découlé en cascade. Quel plaisir de se trouver devant un problème et de se plonger dedans…