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Mathématiques, erreurs et craie

Un article de Courrier International (n°1739, du 29 février au 6 mars 2024) s’intitule “La magie du tableau noir”, et il s’agit de mathématiques : écrire des formules mathématiques sur un tableau à craie aurait un pouvoir d’attraction assez universel. Théo Zenou et Thomas W. Hodkinson, les auteurs, comparent les écrits mathématiques à des “symboles runiques, énigmes et gribouillis” fascinants.

En fait, c’est surtout l’écrit partagé, porté aux yeux de tous, et évolutif, qui est glorifié dans l’article. Pourtant, l’insistance sur le “tableau noir” et la craie est très forte. Les outils numériques sont mis de côté pour leur manque de fiabilité, et parce que les écrans sont vus comme possibles distracteurs, là où le tableau noir semble un facilitateur de concentration, par son héritage symbolique. La craie a, en plus de cette qualité qu’elle s’efface, celle de laisser aussi des traces de ce qui a été effacé. Ca, c’est chouette : le marqueur à tableau blanc s’efface complètement, alors qu’en effet la craie laisse l’erreur ou la modification visible. En effet, faire des mathématiques c’est se nourrir de ses erreurs et de celles des autres.

Lorsque vous le (le tableau noir) regardez, vous pouvez voir à quel genre de dialogue il a donné lieu ; pédagogique ou déjà bien élaboré. On peut y voir aussi parfois trois ou quatre mains interagissant, avec des couleurs différentes, des endroits recouverts, des ratures, des fausses routes, des demi-tours et des moments de clarté soudaine. Le résultat est le fruit de toute une conversation à la craie. C’est magnifique !

Christie Marr, directrice générale de l’Académie des sciences mathématiques

Dessin d’Emma Hanquist, Suède

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Magnifique loup Garou

Maude, l’aînée de nos enfants, a réalisé pour les enfants dont elle s’occupe en tant qu’animatrice péri-scolaire un jeu de loup-garou qu’elle a elle-même dessiné. C’est absolument magnifique.

En plus, elle a créé des cartes en fonction des besoins précis de ses élèves, et a rappelé chaque rôle sur la carte car certains enfants ont du mal à mémoriser.

Je suis positivement fan. Nous avons plastifié tout cela cet après-midi et le résultat est assez éblouissant.

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Color’up

Deuxième jeu testé aujourd’hui : Color’up, de Riviera Games. Ne vous fiez pas au “5 +”, on peut le proposer à des petits, mais aussi à des grands.

Le jeu propose trois niveaux de difficulté, grâce aux pièces en bois naturel, qui bloquent des emplacements et réduisent le nombre de pièces utilisées.

Il s’agit de place, façon Tetris, des pièces dans le bidule à recevoir les pièces, de façon qu’il n’y ait pas de trous et rien qui dépasse. Par exemple, ça, ça ne va pas :

Le guide de défis indique les pièces à utiliser (sans ordre) et les couleurs des premières pièces à placer (dans l’ordre) :

C’est très rigolo, mais j’ai trouvé ça vraiment difficile au troisième niveau, prévu à partir de 12 ans (or j’ai plus que le quadruple). Ma fille a eu du mal à s’arrêter tant elle a trouvé Colour’up rigolo et avait envie de continuer les défis.

Colour’Up me semble très bien en particulier pour les élèves qui ont du mal à se repérer dans l’espace, et pour développer la motricité fine. Et puis pour s’amuser, aussi, simplement.

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Imagicien

Aujourd’hui, nous avons testé deux jeux, ma fille et moi. Le premier est Imagicien, de Olivier Mahy, édité chez Blam !

Ce jeu est un très bon jeu pour des élèves qui ont du mal à inhiber, à rester attentif. Des élèves TDA, avec ou sans H, sont des joueurs de choix, pour développer les compétences cognitives qui leur sont difficiles. Et pour tout le monde, le jeu est très sympa et amusant. Il nous a beaucoup plu : se repérer, dessiner, deviner, c’est rigolo et simple dans le principe.

On tire une carte, et on doit relier les images figurant sur la carte, par des segments. Parfois il faut un trait, parfois plusieurs. A plus haut niveau il faut entourer certains dessins d’un cercle (ceux qui figurent sur la carte isolés) et à encore plus haut niveau il faut relier les dessins par des arcs de cercle. Le joueur qui gagne est celui qui identifie le premier ce que représente le dessin, même s’il n’est pas terminé. Il le note sur son plateau, retourne le sablier, et les autres joueurs ont 30 secondes pour terminer. Le premier gagne 2 points, les autres à avoir trouvé 1 point. La personne qui a gagné 2 points joue lamanche suivante du côté gris du plateau.

Un des paquets du jeu est déjà trié et prévu pour apprendre les règles graduellement, ce que j’ai trouvé très bien.

Avec Alice, nous avons essayé de jouer autrement, après notre partie : Alice dessinait, et moi je lui décrivais les images à relier. C’est une bonne idée (c’est l’idée d’Alice), car cela permet de travailler le langage, et de trouver des moyens de permettre à l’autre de discriminer.

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Explo Géo

Bon, promis, demain je m’y mets. Au boulot. Parce que depuis samedi, début de mes vacances, je n’ai pas travaillé, ce qui est inhabituel et délicieux. Et j’assume tranquillou car j’avais tellement bossé aux vacances de Noël que là je suis dans les clous. Comme nous avons reçu une commande de jeux, j’en profite. Aujourd’hui, nous avons testé, avec ma fille, Explo Géo, un jeu de géographie de Zengames. Nous nous sommes beaucoup amusées.

Le principe est simple : on constitue deux équipes, et une équipe doit faire deviner à l’autre le pays tiré.Pour cela, on lit à haute voix les trois mots clef (ci-dessous, Grand, Surf et Animaux). Selon les règles, on répond ensuite à des questions (7 au maximum) sur la pays, auxquelles on ne peut répondre que par oui ou non. Pour chaque question posée on avance le pion d’une case sur le plateau, pour conserver en mémoire le nombre de questions déjà posées. Mais cela n’a aucune incidence sur le score. Quand l’équipe le demande, on lui donne un indice vert, orange ou rouge, au choix. Si l’équipe finit par trouver, elle obtient un point.

Avec ma fille, nous avons aménagé la règle : nous répondons aux questions autrement que par oui ou par non si cela ne dévoile pas complètement le pays à deviner. Nous ajoutons des indices, éventuellement, en fonction de ce que nous savons. Nous nous sommes bien amusées et nous n’avions pas envie de nous arrêter. C’est dommage qu’il n’y ait que 49 pays, en revanche. Ca va aller vite, pour nous, de les retenir.

Je vais utiliser ce jeu dans le dispositif ULIS, mais en l’aménageant encore différemment : exit le pion et le nombre de questions, déjà. Nous pourrons aussi poser des questions qui n’appellent pas seulement “oui” ou “non” pour réponse, et la tablette sera accessible pour répondre aux questions dont les élèves n’auraient pas la réponse. Nous aurons aussi la carte du monde à disposition, avec les pays indiqués. Au fil de la partie, nous remplirons le document prévu :

Ce document me permettra de poursuivre l’activité avec d’autres élèves que ceux présents au départ (car je n’ai jamais les mêmes en face de moi), en leur proposant les mêmes cartes-pays, pour pouvoir faire commun et réactiver ensuite. Nous pourrons aussi, grâce à cette trace, visionner des portraits d’enfants d’Arte associés. Mais cela me permettra aussi de réactiver avec les élèves pour lesquels travailler la mémoire de travail est important car elle est faible.

J’avais préparé l’emploi du temps de la période ; je vais l’amender pour caler de la géographie à partir de ce jeu.

Zut, j’ai un peu travaillé du coup. 🙂

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Numérique en enseignement : oui, mais n’oublions pas de réfléchir

Depuis quelques jours, une discussion court sur X à propos des outils numériques de l’enseignement des disciplines, et particulièrement des mathématiques. Heureusement les collègues qui participent sont réflexifs, sympas et ouverts, parce que cette discussion aurait pu tourner en eau de boudin* : quand on parle philosophie des pratiques de classe c’est toujours délicat, et ici il y a beaucoup à interpréter de travers dans les échanges.

** Digressons un peu : cette expression vient de ce qu’en fait, dans le cochon, tout n’est pas bon : de l’eau du cuisson du boudin on ne peut rien faire, même pas du bouillon

Je vais donc essayer de préciser ce que je voulais dire (mais sur X, avec si peu de caractères, c’est bien difficile) en continuant de marcher sur des oeufs : je ne veux fâcher personne et je n’exprime qu’une opinion personnelle. Et puis si on me demande mon avis sur l’apport du numérique dans l’enseignement, c’est simple : pour moi, il est révolutionnaire** et précieux.

** Révolutionnaire, car j’ai enseigné des années au vidéo projecteur et même avec des duplicateurs à alcool et des stencils, messieurs-dames, oui-oui-oui. J’ai su que j’avais le CAPES grâce au Minitel, même…

Au départ il y a un constat : les outils numériques pour l’enseignement se multiplient. J’en utilise moi-même beaucoup, beaucoup, et je serais bien malheureuse de devoir m’en passer, car cela nuirait aux apprentissages de mes élèves. En plus, ces outils m’apportent souvent un confort non négligeable : comme l’ont fait remarquer des collègues, la pertinence et la simplicité d’usage de ces outils nous permet de nous consacrer aux élèves qui en ont le plus besoin à ce moment-là.

Scratch

Alors où est le problème ?, me demanderez-vous fort judicieusement.

D’abord, il y a une accélération de la création de ces outils numériques. Ils foisonnent. C’est plutôt une bonne chose : ils foisonnent parce qu’ils s’améliorent, naissent en réponse à des besoins, s’adaptent à l’enseignement d’aujourd’hui. Mais ce foisonnement nuit à l’analyse de ce qui arrive jusqu’à nous. Ce n’est pas si grave, car au pire nous essayons, et nous perdons trop de temps à ne pas prendre en main ou nous n’identifions pas une réponse à nos besoins, et nous abandonnons l’outil. Là où c’est plus embêtant, c’est que n’est pas Arnaud Durand ou Christophe Auclair qui veut. Pour produire un outil numérique efficace, il faut une expertise didactique et pédagogique très solide, en plus de compétences d’ingénierie et de réalisation de l’outil. C’est comme les manuels, finalement : parfois on voit arriver dans les classes de outils maladroits. Mais justement, c’est comme les manuels : l’enseignant, grâce à sa maîtrise de la construction de séances d’enseignement, doit pouvoir y voir clair.

Ensuite, une conséquence du foisonnement des outils numériques, c’est qu’ils prennent de plus en plus de place dans nos échanges professionnels. Alice Ernoult, dans une des conversations sur X, note que dans ces échanges, la part de la discipline et sa didactique diminuent. Je suis d’accord, et cela m’inquiète. Cela ne concerne pas tous les concepteurs des outils numériques : comme je l’ai écrit plus haut, ils font partie des gros cogiteurs didactiques et pédagogiques. Mais du côté des utilisateurs, en revanche, la généralisation est moins sûre. Voici plusieurs raisons qui m’amènent à penser cela :

  • Un collègue m’expliquait la semaine dernière qu’avec les outils numériques qu’il utilise, plus besoin de corriger : la correction arrive sous forme de score. C’est vrai, certaines applications ou certains sites permettent de récupérer de façon synthétique et quantitative les réussites de nos élèves que l’activité menée. C’est très pratique, en effet. Mais attention : si ce score donne des indications, il ne donne pas d’informations sur la nature des réussites et des erreurs. Comment construire la suite ou remédier lorsqu’on n’a qu’un pourcentage de réussite ? Si on travaille sur des tables de multiplication données ou à développer un automatisme précis dans un contexte défini, pas de souci, on sait quoi faire du score. Mais savoir quelle a été la réponse de l’élève est indispensable et très enrichissant pour notre réflexion. Ce score n’est d’ailleurs pas une “correction”. Certains sites proposent un accès aux réponses ; ça, c’est top.
  • Il y a aussi la question des préparations : même si une séance prend appui fortement sur un outil numérique, elle doit être minutieusement préparée. Ce n’est pas si évident : le concepteur de l’outil n’a pas conçu un système clefs en mains. Il a conçu un outil à adapter à nos élèves, différemment pour chaque contexte. Rien qu’en se posant la question de l’institutionnalisation, de la synthèse (quels contenu, quand dans la séance ?), on comprend que c’est tout aussi, voire plus délicat que sans outil numérique.
  • Si l’usage d’outils numériques est un appui, voire un levier, lorsqu’elles sont utilisées de façon pertinente, les risques demeurent importants : puisqu’il y a moins de regard de l’enseignant sur l’activité individuelle, il y a aussi plus de risques de consolider des représentations erronées. Automatiser est très important, lorsqu’on automatise ce qui construit. C’est le problème de l’autonomie, en fait : elle est souvent agréable à l’élève, elle allège notre travail (et c’est bien), mais elle peut avoir des conséquences délétères en matière d’apprentissages. Si un élève répond correctement à plusieurs questions grâce à un théorème en acte, c’est-à-dire une “méthode” qu’il tient pour vraie parce que dans certaines cas de figure elle a mené à une bonne réponse, cela va poser évidemment des difficultés par la suite.
  • Une majorité d’outils numériques privilégient le travail et la réflexion individuels. Avons-nous envie de classes constituées d’individus le nez sur leur ordinateur ou leur tablette, qui n’échangent pas et comparent ponctuellement des scores, dans un esprit compétitifs ? C’est sûr, la “gestion de classe” sera peut-être un temps simplifiée. mais à mon avis c’est un mauvais calcul. Les compétences psycho-sociales vont en prendre un coup dans les chaussettes.
  • Le rapport au numérique me fait l’effet de suivre une tendance portée par une partie de notre institution ces derniers temps : c’est le retour des méthodes magiques. Or que ce soit une interprétation lointaine de la méthode de Singapour ou le recours au numérique, rien n’est magique, tout est complexe et humain, intellectuel et artisanal, dans l’enseignement. Chaque époque véhicule son y-a-qu’à-faut-qu’on, dans un cycle qui jamais ne s’arrête. Alors quand une collègue me demande si j’utilise telle combinaison de sites ou telle application, parce que vraiment, c’est ça qu’il faut faire et si je ne le fais pas je ne suis pas “dans les clous”, hé bien je vais voir les outils en question, parce que je veux entendre tous les conseils, mais le formatage derrière cette parole me gêne. Evidemment que ce serait formidable de trouver LA méthode qui fait réussir tout le monde. Mais elle n’existe pas, voilà.
Pyrates et Compute It

Cela étant, il n’est pas question de cesser d’inventer de nouveaux outils, évidemment. Le but est de faire progresser nos enseignements, en vivant avec notre temps. Mais sans doute est-il nécessaire que nous veillions à notre prise de recul, à penser de fragiles équilibres et à attirer l’attention sur l’indispensable réflexion que nécessite le moindre acte d’enseignement. Et puis mieux vaudrait ne pas mettre tous nos oeufs dans le même panier. Le numérique n’est pas magique, il est pratique. De quel numérique parlons-nous chacun, finalement ? Du numérique comment, du numérique pourquoi, ? Peut-être pas du même… Vincent Joly, dans la discussion, a fait référence au “coeur du métier”. Tout est là, je crois. Alors du numérique, oui, mais de sorte que nous maîtrisions les rapports aux savoirs, que nous sachions décrire l’activité de nos élèves, précisément, que nous puissions avoir en conscience un retour qualitatif de leurs acquisitions et de leurs difficultés, étayé sur des indices les plus objectifs possible.

Défi relatifs

En revanche, ce qui est super chouette, c’est que ce type de questionnement nous permet de débattre et d’échanger. Et même si c’est numériquement, cela nous permet de progresser. 🙂

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L’art du live de la maîtresse

J’avais rencontré, il y a quelques mois, Marie-Solène Lotequeux, dont la chaîne Youtube s’intitule La maîtresse part en live. Marie-Solène était bien occupée à préparer la naissance de son bout de chou à venir, mais cela ne l’empêchait pas de sillonner la Normandie pour venir papoter de mathématiques en maternelle. C’était une bien jolie rencontre, et j’ai visionnée aujourd’hui la vidéo qu’elle a réalisée. C’est du beau travail, vraiment très professionnel ! Je suis ravie d’avoir apporté mon caillou à ce beau projet.

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Chroma Cube (sédentaire)

Grâce à Laura, j’avais découvert Chroma Cube voyage. Aujourd’hui, mon mari et moi avons reçu nos Chroma Cube tout court. Le principe est le même, mais avec des cubes en trois dimensions au lieu de jetons.

On retourne une carte, et elle comporte des indices qui permettent de trouver comment placer les cubes, les uns par rapport aux autres et dans l’absolu. Dès les premiers niveaux, ce n’est pas tout à fait facile. Je pense que cela va résister à certains de mes élèves. Certains termes ne sont pas forcément intuitifs, et il faut avoir bien mis tout à plat en lisant la consigne, très explicite. De même, avec ma fille, nous nous sommes trompées sur le niveau 1 car nous n’avons pas nommé les couleurs correctement : mieux vaut là aussi vérifier sur le livret d’explications.

Ce jeu est vraiment intéressant pour travailler la logique, le lexique, les repères déictiques, l’inhibition, apprendre à faire des conjectures et à les vérifier.

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Simon et la mémoire de travail

Nous avons reçu une commande de jeux. C’est chouette : je vais retourner en classe avec de nouvelles acquisitions. Voici la première, le grand classique : Simon. Simon va nous permettre de travailler la mémoire encore différemment de nos petits rituels de début de séance.

Le principe est simple : on allume, on règle le son et on observe/écoute la séquence pour la reproduire le plus longtemps possible.

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Sympathie, compassion, empathie ?

Ce matin (et cet après-midi aussi), c’est cours sur “personne ressource” dans le cadre du CAPPEI. Comme une collègue m’a récemment interrogée sur le bien-fondé de l’empathie (vers les élèves, les collègues, les parents), voici deux documents qui peuvent être utiles : avant de savoir ce qui est bien, encore faut-il savoir de quoi il s’agit.