Des commentaires à mon article sur le tréma m’ont amenée à approfondir mes recherches. Merci les copains, d’ailleurs.
Voici ce que j’ai trouvé sur l’Académie Française : Maurice Druont écrit en introduction :
“Passons aux autres dispositions qui intéressent l’accentuation. Et d’abord le tréma.
Une source de difficultés sera tarie en prenant pour règle de placer le tréma sur la voyelle qui doit être prononcée dans des mots comme aiguë, ambiguë et ambiguïté, et en étendant son usage aux mots où une suite -gue- ou -geu- conduit à des prononciations défectueuses, tels que argüer et gageüre.“
Voici les articles qui développent la modification :
Bon. Le point positif, c’est que je n’ai pas dit de bêtise. Pas vraiment volontairement cela dit.
Le point étonnant, c’est que je suis moderne, si on considère qu’appliquer une réforme datant de 1990 est un signe de modernité.
Le point négatif, c’est qu’à la réflexion je préférais le tréma sur la deuxième voyelle. Mon côté vieillot est ainsi en conflit avec mon côté paladin.
Une autre source, avec un document que j’ai trouvé bien organisé :