Il y a les claques virtuelles, le mépris abrasif, les mots de pensées courtes, les déclarations qui clivent, les droits de réserve bafoués, les familles dans le besoin que l’Etat refuse d’aider, les handicaps d’élèves méprisés par le gouvernement, et puis bon, la fatigue, tout simplement.

Mais il y a les twittos qui soutiennent quand je fatigue, les collègues du collège qui cherchent des solutions pour les familles dans le besoin, les chefs d’établissement qui se décarcassent pour les handicaps des élèves, les inspecteurs qui font preuve d’une délicatesse pleine de discrétion, les universitaires qui proposent des opportunités, les profs des assoc qui se décarcassent inlassablement, les lecteurs qui m’écrivent pour partager…

Allez, c’est l’heure du choix. Je reste en classe. Encore pour un tour.