Dans une de mes classes de sixième, juste avant les vacances d’hiver, l’évaluation diagnostique m’avait donné ces informations :
Rien de bien surprenant : les décimaux, c’est difficile.
Après avoir déjà bien travaillé (nous avons presque terminé, mais évidemment il faudra réactiver jusqu’à la fin de l’année et même après), nous avons mesuré les progrès au travers de quatre exercices de maths mentales, avec entre dix et vingt questions à chaque fois :
Au total, j’obtiens 75% de réussite (vert et vert-vert, et puis bleu qui correspond à objectif dépassé). C’est mieux. Mais 25% de compétences non acquises, c’est trop. C’est 25% de trop, en fait, idéalement. Alors je vais laisser reposer et nous allons recroiser des décimaux à tous les coins de rue. Et ensuite revenir explicitement dessus, et réévaluer. On verra alors, pour redéfinir une stratégie.
Dans traces intéressantes de difficultés qui persistent, il y a celle-ci :
Ces élèves essaient avec énergie de s’accrocher à des techniques qu’ils pensent avoir perçus. Mais ils n’ont pas encore donné de sens à l’écriture décimale, et la virgule voyage.
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