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Les aventuriers du manuscrit perdu

Un article de Libération de jeudi 28 septembre 2023 raconte où en sont les milliers de feuillets laissés par Alexandre Grothendieck, protégés longtemps par Jean-Bernard Gillot, libraire à Saint-Germain-des-Prés. Philippe Douroux et Simon Blin, les auteurs de cet article, font plusieurs références à Indiana Jones, et c’est vrai que l’histoire est rocambolesque : si une partie de ce peut-être trésor va à la BNF, grâce à un accord secret dont personne ne peut rien dire, le reste des pages va… on ne sait où, car de cela on peut encore moins parler. C’est secret, très secret.

Pour la partie acquise (par un don) par la BNF, il faudra des décennies pour que mathématiciens, historiens et philosophes étudient les contenus. Pour le reste, hé bien forcément, on n’en sait rien. Mais c’est vrai que je me demande moi aussi qui est prêt à s’offrir des manuscrits dont on ignore tout, et comment cette personne pense s’y prendre pour les exploiter. Les enfants d’Alexandre Grothendieck, avec qui il a coupé les ponts de façon totale pendant plus de 20 ans, se retrouvent avec une postérité encombrante sur les bras. Et au final, personne ne sait ce que révèleront les pages et les pages de mathématiques : seront-elles révolutionnaires, compréhensibles, banales ou absconses ? Et le reste, des listes de Juifs et de Juives déportés aux correspondances avec messieurs Chirac ou Soljénitsyne… Alexandre Grothendieck était décidément un personnage hors-normes.

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Code en bois, le retour

L’année dernière, à peu près à cette époque, j’ai testé Code en bois avec mes élèves en enseignement ordinaire. C’était extra. J’en ai parlé ici ou , ou encore .

Cette année, je fais faire pas mal de programmation aux élèves du dispositif ULIS dont je m’occupe. Pas tous encore, car j’ai d’autres urgences avec ceux qui ne savent pas lire par exemple, mais 6 élèves ont déjà fait du Turing Tumble et 3 ont fait leurs premiers pas sur Scratch. L’étape Code en bois me manquait, alors j’ai décidé d’en acquérir 4 kits pour la classe. Je suis très contente, et j’ai hâte de retrouver mes élèves pour leur montrer. En attendant, je pense inventer des défis supplémentaires pour exploiter l’outil à fond, même s’il y a déjà pas mal de défis très bien pensés dans le livret fourni.

Avec ce beau matériel, nous allons travailler la logique et la programmation, mais aussi déboucher sur l’étude de la langue et des productions d’écrits, en lien avec les programmes de mathématiques, de technologie et de français.

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Et on a conduit un bus

Aujourd’hui, première sortie avec les élèves du dispositif ULIS que je coordonne. Nous sommes allés à la rencontre de Transdev, l’entreprise qui exploite la plus grande partie des lignes urbaines et scolaires à Rouen. Nous avons été reçus par des personnes d’une très grande gentillesse, qui se sont adaptées très naturellement aux particularités des un(e)s et des autres.

Nous avons joué à un jeu de plateau sur la transition écologique, nous avons visité le poste de contrôle et l’agence commerciale. Nous avons échangé avec des formateurs, des cadres, des employés, des vérificateurs (les contrôleurs) et des conducteurs. Et nous avons fait du simulateur de conduite.

Tout était vraiment top. Les élèves ont été ravis, enthousiastes : “c’est hyper impressionnant”, “c’est trop bien madame !”, et en plus ils et elles se sont vraiment bien comportés. Je n’ai eu que des compliments à leur faire. C’était chouette de les voir intéressés, contents, énergiques, et en plus j’ai appris des tas de choses moi-même. Et j’ai pu essayer aussi le simulateur de conduite. En tout, la visite a duré deux bonnes heures. Nous étions de retour pour déjeuner.

En plus, les personnes de la Transdev nous ont accueillis avec des jus de fruits, du chocolat chaud, des gaufres et des petits gâteaux… Comme ils avaient oublié de nous donner des goodies en fin de visite, ils ont même eu la grande gentillesse de nous les ramener au collège le midi…

Pour la semaine prochaine, j’ai préparé un document qui réactive ce que nous avons découvert. Trois élèves m’ont dit avoir envie de travailler là ; c’est chouette, objectif atteint !

Et en plus, on a conduit un bus.

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Être ou ne pas être un lapin

Hier, leçon d’anglais. Je suis la méthode qui s’appelle THE METHODE, dont je suis parfaitement satisfaite : elle est sympa, efficace et adaptée. Et là, c’était la séance Halloween. Je présente donc le fantôme (blanc), le chat (noir), le vampire (qui boit du sang rouge), le monstre (au visage vert), etc. Et arrive la momie.

Un élève fronce les sourcils et me demande “c’est quoi une momie ?” J’explique, en essayant de répondre correctement sans partir dans des détails gores (auquel cas je perds mes 4e que cela va lancer loin) ni angoissants. L’élève curieux de comprendre semble satisfait.

Mais une autre élève semble plongée dans une profonde réflexion. Je n’arrive plus à retracer le fil de son discours, ce matin. Elle m’a demandé entre autres si, quand on est enterré, les scarabées nous mangent. Nous avons parlé de bactéries, et ensuite je ne sais plus, mais très naturellement (alors que nous étions partis de le leçon d’anglais sur Halloween) j’en suis arrivée à dire quelque chose du type “Oui, c’est comme ça que ça se passe pour nous, comme pour tous les animaux”.

Stupeur.

– Oui.

– Ah si. Es-tu un végétal ?

– Es-tu un minéral ?

– Tu es un animal.

– Ah oui, forcément. Toi et moi, nous sommes deux êtres humains, donc deux animaux.

Va falloir travailler exemple et généralité. Et contre-exemple.

Ensuite, un autre élève encore a déclaré qu’avant, on était des singes. Comme je lui ai expliqué que le fait de se lever sur les deux membres arrières avait permis le développement du cerveau, j’ai eu droit en conclusion à cette très belle interrogation :

Mais alors madame si je marche à quatre pattes pendant super longtemps, je vais devenir un singe ?

Ce que j’adore, c’est le mélange de curiosité, de naturel et d’une certaine forme de logique. Les questions que me posent les élèves sont toujours fondées, dans leur référentiel.

Bon, on a quand même pu terminer la leçon d’anglais.

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La gorge serrée

Lundi, je pars en formation CAPPEI, pour trois semaines. Cela se répétera aux 2e, 3e et 4e périodes. C’est une chance et j’en ai bien conscience. Je me sens à ma place en tant que coordinatrice ULIS, et je voudrais le rester. Pour cela, il me faut le CAPPEI. Alors au boulot, à fond les ballons. J’ai déjà pas mal réfléchi à mes épreuves d’ailleurs. Mais encore faut-il que je m’étoffe dans mes connaissances, dans mes questionnements.

Mais je suis aussi arrivée dans le dispositif, et en tant que personne ressource, avec la même énergie : les ballons sont à fond depuis bien avant la rentrée. J’ai essayé de poser un cadre simple, rigoureux mais qui demeure souple, pour mettre les élèves du dispositif au travail en même temps qu’en confiance. Je trouve que cela a plutôt bien fonctionné jusqu’ici : chaque semaine j’ai été amenée à ajouter du travail à plusieurs élèves, pour tout le monde j’ai évalué des compétences de façon individualisée, les trieurs sont déjà bien remplis de fiches traitées et corrigées, les sessions de Plume, Matheros, Lalilo, Motoufo, Défi tables, défi relatifs et compagnie, et les plans de travail numériques, sont bien avancés, nous avons travaillé jusqu’au niveau du cycle 4 pour certain(e)s. Nous avons fait toutes et tous ensemble de l’anglais, de l’astronomie, de l’éducation aux médias, de la découverte des métiers, entamé le projet correspondance. Ma tutrice est venue me voir, et m’a encouragée à poursuivre (elle a apprécié l’ambiance de travail, l’organisation), en me donnant des conseils que j’ai commencé à mettre en oeuvre dès le lendemain.

Bref, ça démarre bien.

Mais voilà, pour le moment je n’ai pas de remplaçant.

Tout le monde s’y est mis pour me faire remplacer, pourtant. Le pôle inclusif, le rectorat, l’inspection académique, mon inspection, mes chefs, moi… Mais c’est hyper compliqué, parce que je suis du second degré.

Je vais donc partir avec mes trois semaines d’absence entièrement préparées (j’ai prévu les plans de travail et la ventilation des activités des élèves élève par élève, heure par heure), en sachant que peut-être j’abandonne les élèves. Je sais que Laura, AED en pré-pro avec moi, et les AED de la vie scolaire vont faire tout ce qu’ils et elles peuvent. et ils et elles sont vraiment super. Mais même avec la meilleure volonté du monde cela reste du bricolage. Ces élèves, en situation de handicap, dont le désamour de l’école n’est pas loin, sont fragiles et ont encore plus besoin que d’autres de sécurité et de régularité.

Cela me touche.

Mais comme je me sais soutenue, je me dis que peut-être la situation va se décoincer, là, aujourd’hui, demain, lundi. Je serai prête à sauter dans la voiture dès la formation terminée pour rencontrer la personne qui me remplacera, et préciser tout ce qui n’est pas clair : j’ai tout affiché aux murs, du planning aux mots de passe, du rangement des placards aux horaires, mais un échange direct est irremplaçable.

Et là, je pourrai être vraiment intellectuellement disponible pour ma formation.

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Formateurs d’enseignants : un métier impossible ?

Je lis actuellement cet ouvrage de Dominique Bucheton et Yann Mercier-Brunel, pour en faire une recension pour les Cahiers Pédagogiques.

Cet ouvrage tombe à pic, en plein dans une actualité brûlante sur la formation continue, qui semble promise à une mort quasi-certaine. Dans la conclusion (oui, je commence par lire l’intro, ensuite la conclusion, et ensuite le corps du livre, quand je recense), Yann Mercier-Brunel écrit :

On ne rendra pas les formateurs efficients en les outillants de grilles de compétences à valider, mais en les aidant à se construire comme professionnels de la formation : à quoi la formation doit-elle servir ? Sur quelles valeurs de respect des enseignants, mais également de devoir envers les élèves, fonde-t-on l’accompagnement des enseignant ? Quels savoirs, quelles postures, quels gestes professionnels sont nécessaires ? Quelle est la place des formateurs dans le projet éducatif que nous souhaitons pour notre société ?

(…)

Il semble malheureusement qu’actuellement, en France, la recherche tente de jouer son rôle dans les liens nécessaires avec la sphère politique, trop souvent limitée à des idéologies alternant au gré des gouvernements, avec des liens très ténus avec les formateurs, au hasard des rencontres, qui restent globalement livrés à eux-mêmes.

Yann Mercier-Brunel, Formateurs d’enseignants : un métier impossible ? pages 210-211

Je partage ces mots : le fond est précisément exact et le vocabulaire choisi avec soin. Cela fait du bien à la formatrice que je suis.

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La maison Poincaré

L’événement de l’année, c’est l’ouverture de la maison Poincaré : un lieu dédié aux mathématiques, à Paris, de 900 m2. Installé dans l’Institut Henri Poincaré, il est dédié aux mathématiques et à leurs interactions, en particulier en lien avec d’autres disciplines : physique, biologie, sociologie, sciences du numérique, sciences de l’environnement et du climat, économie, philosophie, arts… Le nom de l’institut rend hommage au mathématicien, physicien et philosophe français précurseur majeur dans de nombreux domaines tels que la topologie algébrique et la théorie des systèmes dynamiques et du chaos ou encore la théorie de la relativité restreinte.

A la maison Poincaré, on découvre la démarche des chercheurs et chercheuses d’aujourd’hui, on part à l’exploration de l’histoire des mathématiques à travers les cultures et les arts. Et ce merveilleux lieu ouvre ses portes le samedi 30 septembre 2023, autrement dit dans deux toutes petites journées.

Une réflexion de fond a été menée pour présenter les mathématiques dans toute leur richesse. Des dispositifs interactifs et numériques ont été pensés pour les mettre en valeur :

Des expositions temporaires sont prévues dans l’espace Laurent Schwartz. La première sera « Entrez le monde de l’IA », une exposition interactive sur l’intelligence artificielle destinée au public à partir de 12 ans. Elle ouvre en même temps que la Maison Poincaré et sera accessible jusqu’en avril 2024. Elle invite à plonger dans le monde de l’intelligence artificielle et à tester les technologies de l’IA : “il s’agit de comprendre l’importance de l’IA tant dans ses applications actuelles que dans les défis qui attendent l’humanité”, que ce soit du côté de la technologie ou de la philosophie. La seconde exposition appelée « Générations intuitives » rassemblera un collectif d’artistes dont le travail s’appuie sur les mathématiques. Tout public, elle sera présentée du 25 avril au 27 juillet 2024.

Je n’ai malheureusement pas pu découvrir ce lieu, pour des questions d’agenda. Je n’ai pas non plus pu encore écouter l’épisode de La méthode scientifique dédié à la Maison Poincaré, mais je vais le faire demain en allant au travail.

Sylvie Benzoni-Gavage, qui a succédé à Cédric Villani en 2018 à la direction de l’Institut Henri Poincaré, dit s’être bien amusée à mener ce projet à son terme ; et au vu de l’éclectisme et la joie de ses mathématiques, on la croit volontiers ! Elle a sans nul doute posé sa marque sur l’endroit, en se battant pour que toutes et tous y aient leur place.

Vivement ma prochaine balade parisienne !

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Les mathématiques de la chaussette, épisode 1 : rond ?

Et voilà, le premier épisode de la série Les mathématiques de la chaussette est en ligne aujourd’hui ! Carl est décidément aussi touchant que matheux…

Dans cet épisode, pour débuter doucement, nous nous penchons sur ce qu’est un cercle.

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Le coup de la noisette

Imaginez.

Vous avez amené des noisettes, parce qu’un élève s’est inquiété de voir des feuilles tourbillonner dans le vent : les fenêtres de la classe donnent sur une forêt. Alors nous allons parler saisons, et caser là-dedans de la SVT, de la production d’écrits et de l’astronomie.

Ce jour-là, vous avez ramené le casse-noisettes à la maison : il reste peu de noisettes.

Sauf qu’en toute fin de séance, un élève -appelons-le Antonio- décide finalement de se lancer, et de goûter avec bravoure un de ces trucs bizarres.

Mais au moment où il décide cela, vous êtes dans la salle adjacente, la classe étant composée de deux salles. Vous aidez Dimitri sur de la fluence. Comme vous êtes prof, vous avez de petites antennes qui vous attirent immédiatement dans la salle d’Antonio.

A peine sur le seuil de la porte de séparation, vous ouvrez la bouche pour stopper l’action, mais vous savez que c’est top tard. Alors vous ne pouvez que contempler l’enchaînement de mini-catastrophes.

Antonio tient levé un marqueur de tableau, dont la base est bombée. Il compte manifestement casser la noisette posée sur la table en l’abaissant violemment dessus. Son bras descend, et étonamment il brise la coque. Mais le plus gros morceau de celle-ci part à gauche, et atteint Lisa au visage (Lisa n’a rien, je vous rassure. Juste une grosse surprise). La noisette elle-même part à droite en arrière, et Lucas la reçoit, sur le front. Quant à Antonio, sous l’effet du choc, le bouchon du marqueur se détache et il se le prend dans la figure.

Vous pensez que quand même, c’est pas d’chance, cet enchaînement. Mais ce n’est pas fini : maintenant se joue la partie psychodrame. Lucas ramasse la noisette et… la mange ! Antonio a beau la chercher partout, alors que Lisa se frotte le visage et que le reste de la classe contemple la scène bouche ouverte, il ne la trouve pas : “Elle est où ma cacahuète ?” (hé oui, on a encore du boulot) ; “Bah j’lai mangée, t’avais qu’à pas me l’envoyer dans la figure”, répond Lucas.

Antonio est en même temps abasourdi par la réaction en chaîne et très déçu. Il s’est donné tout ce mal, a quasi-blessé des camarades, pour rien. Et maintenant la prof ne voudra sans doute pas qu’il recommence (il a raison).

Et vous, vous ne pouvez pas réprimer un fou-rire. Les élèves vous regardent, perplexes, mais vous riez de bon coeur, sans moquerie. Ce n’est pas un fou-rire nerveux, c’est juste une bonne rigolade.

N’empêche, c’est super dangereux, une noisette.

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Le projet correspondance

Aujourd’hui, beaucoup de mes élèves d’ULIS ont réalisé leur carte postale, à destination d’élèves de l’ULIS de mon mari. Le projet leur plaît bien et toutes et tous ont personnalisé leur propos, même si parfois c’est de façon très courte. Personne n’a utilisé le modèle exact que j’avais proposé, ce dont je suis bien contente. Il me reste encore trois cartes à faire faire aux élèves qui étaient en évaluation ou en classe d’inclusion, et j’aurai tout !

Avant cela, nous avions travaillé sur la correspondance et la carte postale, grâce à l’ouvrage “En route vers la production d’écrits“, vraiment très bien fait.

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la proportionnalité qui fait oups

Le Figaro propose un quiz intitulé “Auriez-vous réussi les évaluations de sixième ?”

Pour ma part, moyen : pour une prof de maths, 13/15 au niveau 6ème, c’est décevant. Mais en fait il s’agit de deux erreurs : une réponse juste mal attribuée, et une question sans réponse juste implémentée.

Pas de panique, donc.

Entendons-nous bien : nous nous trompons toutes et tous. Mais après un article dans lequel les formulations sur les fractions étaient discutables, c’est dommage.

(Merci Sonia !)